12 juillet 2016 :  Qu’est-ce que tu Trafic ?

 

6h52 : Réveil de Kévin (avec accent)

7h44-47 environ : Réveil d’Audrey, j’ai hésité à mettre « réveil de Audrey » mais je crois que c’est pas super Français, en même temps les espagnols ne nous ont pas corrigé.

8h16 : Réveil de Kevin (sans accent) ou alors avec un petit accent béarnais mais qui ne se voit pas orthographiquement parlant, enfin orthographiquement écrivant.

8h30 : 1er appel pour savoir où est le RDV

8h42 : 2ème appel pour savoir où est le RDV

8h59 : 3ème appel, Non je sais pas où les 8-10 vont en sortie

9h : 3ème appel pour savoir où est le RDV mais le 4ème en tout

9h15 : 18694 ème appel, Mais ouiiiiiiiiii on arrive, oui il pleut, oui c’est aux marnières, mais vous n’étiez pas à la réunion ???? En vrai je vous en veux pas ! 😉

18 juin : Appel.

9h28 : Nous arrivâmes avec les mini-bus « Vaillant le Bleu » et « Gris la tempête ». Vous remarquerez que l’on peut jouer au jeu de « quelle est la couleur du cheval blanc d’Henri IV » avec les Trafics.

On remplace donc le cheval par le véhicule, et notre bon roi par moi. J’y gagne ?

10h10 : les mains à 10h10 comme appris à l’auto-école, nous partîmes direction le soleil et les nanas, Darladida dada.

10h48 : Nuages + Pluie + Mauvais temps + 14° = Pau

11h02 = Le Pourtalet c’est beau, Kévin fait des tours de rond point. Le Pourtalet c’est beau, Kévin fait des tours de rond point. Le Pourtalet c’est beau, Kevin fait des tours de rond point. Le Pourtalet c’est beau, Kevin fait des tours de rond point. (Vous remarquerez que chaque Kévin a fait deux tours de rond point, subtilité de l’accent)

11h18 : Toujours à Formigal, c’est bon on vient de trouver notre route vers  Madrid : Merci le point d’informations !

12h06 : Nous aussi, on pense à Catherine.

12h53 : On s’arrête dans une petite/minuscule (rayez la mention inutile) bourgade où nous achetons dans la quincaillerie/coiffeur/station essence/cordonnier/supermarché/traiteur/charcutier/boucher/ restaurant (aucune mention inutile)

13h34 : Beau temps + Soleil + 32° + musique enjaillissante = Nos vacances !

13h38 : Nous arrivâmes dans une ville où nous croisâmes plus de sens interdits que d’habitants.

Bref, on a mangé prêt d’un lac plus artificiel que Kim Kardashian.

13h58 : Nous reprenons la route vers Madrid et les deux cafés qui nous attendent.

14h41 : Au loin, à droite un café nous appelle.

  • NOUS : Bonjour café
  • LE CAFE : No entiendo amigo
  • NOUS : Hablas Frances ?
  • EL CAFE : No, solo espanol. Te gusta me con leche ?
  • NOSOTROS : Qui c’est qui faut lécher ?
  • LE CAFE : Sugar ?
  • NOUS : Oui, oui, on sugare et on arrive !

14h45 : On a bu notre café, et les garçons on fait un foot sur le parking (désert), tout va bien !

15h12 : Le gouvernement a profité d’une promotion sur les voies d’autoroute pour en mettre 10 au niveau de Saragosse. (On s’est même pas perdu !)

Attention : Pour la prochaine rubrique, une connaissance de Pokémon sur GAMEBOY COLOR est nécessaire, pour les autre rendez-vous à 17h43

16h38 : Au loin, à gauche, un café sauvage apparait !

  • NOUS : En avant monnaie !
  • NOUS : Attaque « Pesetas »
  • LE CAFE : Cela n’a aucun effet sur moi, une mise à jour est nécessaire.
  • LE CAFE : Attaque « Robusta »
  • NOUS : + 12 de PV
  • NOUS est en pleine forme maintenant.
  • Le CAFE sauvage prend la fuite.

17h43 : La pub de l’Hotel Ibis nous prouve que nous nous ne sommes pas trompés de route.

18h31 : Après s’être installé dans nos chambres aussi utiles que spacieuses, nous partons faire deux courses au Al Campo local durant un mini quartier libre pour notre vaillante troupe !

20h23 : Repas.

20h32 : Le burger au Ribs est avalé.

20h33 : Des fois , c’est bien de faire des phrases courtes qui sont les moins longues, donc les meilleures, donc les moins longues, donc les plus chouette et, de fait, évidemment, les moins pire.

21h38 : Quand on arrive en ville (ça pourrait faire une chanson) : Petite balade dans cette charmante ville animée et bilan de la journée.

22h47 : Sommeil pour tous dans cette jolie ville de Alcala de Henares. A demain !

Mercredi 13 juillet :

A un degré moindre

7h29 : Réveil des animateurs, avec les paupières lourdes mais le cœur légé.

7h45 : Tocage aux portes pour réveiller les jeunes, ils nous expliquent avoir bien dormi, mais ont déjà prévu de dormir dans les mini-bus

8h22 : Comme prévu nous sommes au petit déjeuner, il est bon, agréable, Ibis Budget quoi !

9h : Les chargés sont sacs ?  Ou l’inverse, mais le café n’a pas encore fait effet, ou « fée et fée », si on aime la magie.

9h 29 : On roule vers Madrid.

10h15 : On roule dans Madrid.

10h25 : On roule vers Madrid, on est allés trop loin…

10h29 : On roule dans Madrid !

10h32 : « Euh … Monsieur, le pare-brise est déjà propre ! »

10h33 : « Bon attrape 1dans la caisse s’il te plait Théo » (oui, c’est pour donner au relaveur de pare-brise)

10h34 : Ah, que c’est agréable d’avoir un pare-brise relavé aussi propre qu’avant !

10h53 : On se gare !

10h54 : On se regare dans un endroit plus cher mais moins dangereux pour nos mini-bus, propres du pare-brise.

11h04 : On est au musée, c’est gratuit, donc 1€ de moins que le coût du relavage de pare-brise.

11h59 : Avant 12h, on sort du musée où nous avons vu toutes les choses que vous pouvez voir sur leur site internet.

12h35 : Arrêt simple au Simply Market pour acheter le pique-nique du jour.

14h03 : On s’arrête manger sur une aire d’autoroute aillant le charme de Liliane dans « Catherine et Liliane. »

14h06 : On se dit qu’on a oublié d’y penser à Catherine.

14h09 : On débriefe le passage des 10 voies d’autoroutes sous terrain ou sous terrine, si c’est au féminin ou si on a faim et du cornichon.

14h21 : On prend un café aussi court que noir que revigorant, notre Maxi Pokeball nous a bien servit !

14h34 : Il fait 34 °C

14h59 : « Tiens, un nuage ! »

15h06 : Non, c’était une trace sur le pare-brise.

16h03 : Pause essence, glaces, Coca, Aquarius chacun tournant à son carburant.

16h04 : Mehdi s’est trompé de carburant, après 2 gorgées de Sans Plomb 95, il se dit que c’est pas un Ice Tea.

17h02 : On écoute pour la 3ème fois le CD.

18h04 : Allez , on traverse le désert,

18h06 : Tiens, il fait 38° C, on décide de lancer un Ulule pour la clim des trafics.

18h07 : A 40° C on appelle le toubib, la terre a de la fièvre ?

18h19 : Léger  vent froid, 33°C.

19h09 : Tiens, le dessert, ah non le désert, je me disais aussi !

20h00 : On est à l’hôtel depuis 7 minutes, il est cool, il a la clim, les 18000 bouteilles de la cave de Juan sont exposés à l’entrée.

21h30 : Repas sur la terrasse, 12 le menu, primo plato, sécundo plato, dessert, boisson, bref on est bien.

22h38 : On s’excuse au nom de la France d’avoir un chanteur célèbre qui chante «  Ma belle Andalouse ». On préfère parler de Nino Ferrer, Renaud ou encore de nous-même.

23h21 : Bilan de la journée, programmation du lendemain et dodo.

Minuit six : on pense à Catherine Deminuitsix, la cousine… A demain !

 

14 Juillet : La belle de Cadix

8h45 : Réveil des loustiques, mais pas des moustiques car cette année nous dormons dans des somptueux Hotel, et ça c’est chouette ! (Vivement d’ailleurs celui de demain !)

8h56 : On ne le sait pas encore mais un petit déjeuner de champion nous attend !

9h26 : Wouaw ! La tartine de pain est énoooooorme, nous la confondons presque avec l’assiette, après deux dents de cassées, on trouve enfin la tartine !

9h48 : On décide de la faire à la cool ce matin, foot pour certains, détente pour d’autres. (Et pas « des tentes », car je le rappelle, mais cette année nous dormons dans des … dixit 8h45)

10h13 : Le soccer de Arcos de la Frontera est magnifique, en accès libre. De somptueuses tribunes viennent orner le terrain, certes vide ce matin mais le cœur y était. Les pom pom girls étaient malheureusement restées à l’hotel

11h32 : La sorcière est tuée.

11h33. En fait elle était amoureuse du chasseur, du coup il meurt aussi.

11h33h22sec : Ah, le chasseur assène un dernier coup de fusils sur un loup garou.

11h35 : Le village se rendort.

11h39 : on roule vers Cadix, lieu de notre journée

11h42 : Kevin et Theo font des blagues de fenêtre

11h44 : ces blagues sont possibles grâce aux vitres électriques, blague donc impossible il y a 50 et encore moins au temps des calèches

12h02 : on traverse un pont de ouf qui nous amène à Cadix

12h09 : on commence à chercher une place

12h35 : on a trouvé une place, enfin 2.

13h01 : on arrive au marché, somptueux, magique, on y croise des requins, mort évidemment, et des nike requins aussi, chaussures démodées depuis 2001.

13h09 : 2 petits groupes sont chargés d’acheter le repas

14h01 : on mange dans le peu d’ombre disponible, le soleil est au Zenith, et le zénith à coté du palais des sports.

14h03 : croquetas, morceaux de viande typiques et tarte végétarienne locale en entrée.

14h06 : vous remarquerez que l’on mange à l’heure espagnole

Dos horas y ocho : oui l’heure est espagnole, sandwich, jambon, fromage, pain

14h29 : on mange des fruits espagnols mais ici, on se dit que c’est local.

15h01 : on part à la plage, aussi belle que le marché mais moins alimentaire, quoi que salée.

16h32 : on part de la plage, l’eau fut froide, le sable chaud, l’air tiède chaud (33°), le chaud cola, le cola téral, le téral umer, l’umé Russe, le russe tique.

16h33 : Appel de Poutine, sa démocratie exemplaire nous interdit de parler des Russes en mal qu’ils hument ou qu’ils tiquent !

16h53 : FFFFFFF, le vent souffle. (sur la plaine, de la Bretagne Armoricaine …)

17h02 : Nous regagnons les mini-bus dans le parking sous terrains ou nous les avons laissés. Le plafond est tellement bas, que nous avons ce reflexe, humain mais idiot, de baisser la tête, au cas ou le plafond aurait décidé de nous faire une blague.

17h38 : Arrêt au Carrouf pour acheter des bouteilles d’eau !

18h26 : Nous reprenons la route et arrivons rapidement à l’Hotel.

19h02 : Soccer. On perdra contre des Espagnols, mais au moins, nous, on est allés en finale de l’euro. On rigolera moins dimanche, mais pour le moment, on en profite !

20h31 : Départ vers le centre-ville pour manger.

20h32 : Au sixième rond point c’est à droite, à droite que se trouve le parking. A noter, que Arcos de la Frontera compte plus de rond-points que les sens interdits croisés dans la ville du premier jour.

21h01 : On est garé, on commence à monter ! 2813 marches pour démarrer puis 1 kilometre de monté en aigre douce : aigre parce que c’est fatiguant, mais douce parce que c’est beau !

21h31 : Nous sommes en haut de la ville, d’ici on devine même Strasbourg. Panorama exceptionnel, dresseur de Suricate (c’est Timon dans le Roi Lion) et orchestre philharmonique reprenant des classiques, tel que le splendide « We are the Champion » de Queen.

21h32 : Monique est partie pisser, ce n’est plus qu’un concert de Philard.

22h04 : On mange. C’est bon, c’est frit, ça se mange.

23h12 : On entame la descente, avant que la descente nous entame.

23h43 : Ca commence à se coucher.

00h32 : Nous écrivons  ce résumé et le patron de l’hôtel vient nous chercher, la mine grave, et nous informe de la triste nouvelle. Cela nous rappelle malheureusement des souvenirs auxquels nous ne voulons pas nous habituer. Encore plus ce soir, nous nous sentons investis de notre rôle éducatifs, auprès de ces citoyens en devenir. Nous commençons déjà à préparer le débat de demain.

00h59 : On dort, ce n’est pas flagrant mais cette phrase s’est écrit toute seule.

 

15 juillet : « C’est assez », dit le Dauphin

9h16 : Ca fait déjà une minute que le réveil sonne, promis, on va se lever.

9h18 : Ouverture du deuxième œil !

9h29 : Donovan refuse de se réveiller. La lutte est féroce mais mère nature semble contrôler son sommeil. Nous livrerons bataille plus tard. Avec Mère Nature évidemment, pas Donovan .

9h32 : On arrive en bas au petit déjeuner, cette fois ci, on ne se fait pas avoir, on ne croque pas dans l’assiette, on trouve direct la tartine !

9h45 : Entre un croissant industriel, une gorgée de jus de pêche et un café bien serré nous lisons le journal et entamons la discussion avec les jeunes sur les évènements de la nuit.

9h62 : Tous le monde prépare son sac les mini bus se chargent de se charger !

10h28 : Jeu de rôle où les jeunes doivent, en qualité de président, faire des propositions pour lutter contre le terrorisme. Cela sera notre accroche pour lancer le débat.

11h12 : Presque une heure que nous sommes en train de débattre, il est à présent temps de prendre la direction de l’hôtel à Jerez de la Frontera, à 14 minutes d’ici.

12h06 : Aujourd’hui, on y a pensé.

12h12 : Quelqu’un pense à nous.

12h13 : Nous arrivons au troisième hôtel où nous déposons nos valises (c’est 14 minutes espagnoles, c’est pour ça). Nous intègrerons nos chambres en fin d’après midi. Pour l’heure, Gibraltar nous attend ! Yes, of course !

13h13 : Dia, on s’arrête faire quelques courses dans … Un Dià ! Biiiim !

13h28 : Des CD sur la route ? Ah non, ce n’est seulement que des « Prospectus de bouteille de Gaz », transportés par un camion. Mieux vaut recevoir ça que les bouteilles.

13h43 : Le vent souffle, les mini-bus luttent. Vaillant le bleu n’en démord pas, Gris La Tempête est dans son élément, les deux véhicules roulent à contre sens du vent. La bataille fait rage, les pneus crissent sur les longues autoroutes Espagnoles, et laisse cette trace si caractéristique des voitures qui ont combattues. Le soleil est lui aussi de la partie, et ne rend pas l’aventure plus facile, bien au contraire. Les pares soleil deviennent nos seuls alliés dans cette bataille que nous livrons à mère nature. Les volants des vans nous font des tours, mais non ! Nous résistons ! Rien ne les fera reculer ! Non, rien ! Oui, vous avez bien compris, nous sommes et nous resterons au dessus de ces intempéries. Et nous arriverons sans encombre à destination, la belle et non moins unique ville de Gibraltar, où nous prendrons une collation bien méritée ! Nous nous souviendrons de ce repas, vous savez, ce genre de moment qui nous rappellent que nous sommes avant tout des êtres humains et que, nous aussi, nous avons besoin de manger.

13h44 : Hachette Edition nous appelle pour nous publier.

14h04 : On a mangé.

15h02 : Nous franchissons la frontière, cent problèmes. Les Anglais acceptent de nous recevoir pour la journée mais les Espagnols ne sont pas trop chauds pour nous laisser partir. Nous sommes flattés, ils ont peur d’une énième fuite de cerveaux.

15h04 : Avec le temps extérieur, les Espagnols ont un cerveau lent.

14h04 : Non, on ne remange pas, on a juste changé d’heure.

14h010 : On traverse une piste d’atterrissage. S’il vous plait, regardez à droite, à gauche puis à droite s’il n’y a pas un avion qui arrive.

14h020 soit 12,08 pounds : Et oui, on a aussi changé de monnaie.

14h021 : Faute de place sur le territoire Gibraltarien, la route rentrant dans ce petit pays traverse réellement la piste d’atterrissage de l’aéroport, fermée aux avions à ce moment-là et inversement proportionnel.

14h38 : A droite maintenant.

14h50 : On va acheter des bouteilles d’eau chez une petit mamie anglaise, dans une petite boutique, l’accueil est chaleureux. On demande un café à emporter. « Yes » dit-elle, «but In the mugs ! ». On décide de boire notre café à emporter sur place, afin de lui laisser le mug.

14h51 :  « Yeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees ! » dit-elle. Elle a trouvé dans son échoppe des verres en plastique anglais. C’est comme des verres en plastiques mais en moins beau.

14h52 : On boit donc notre café à emporter, puis sur place, finalement à emporter sur place. (si vous rencontrez des problème pour la compréhension de cette phrase, appelez votre médecin, et montrez lui le résumé, il vous guérira pas mais rigolera bien !)

14h58 : On se fait alpaguer pour voir des dauphins, ça tombe bien, on voulait y aller !

15h31 : Nous avons un départ en bateau, à 17h, heure espagnole, donc à 16h.

15h42 : « Bonjour ». Nous parlons à une dame Franco-anglo-maroco-gibralto gentille. On parle longtemps de la vie de Gibraltar. Elle nous explique que si on perd 20€ et que quelqu’un le voit, on nous court après pour nous les rendre. Peut-être ont-ils peur de la pollution ?

15h48 : Le patron du casino nous à bien vu perdre 20€ à sa machine, il nous a pas couru après.

16h00 : Il est 17h, on monte dans le bateau. Les consignes de sécurité sont en anglais, ça tombe bien on est bilingue… en espagnol.

16h28 : Et le rond … Non, aileron … On voit enfin un dauphin qui se cache à l’eau.

17h30 : Une heure et demi de dauphins, de balade en mer et de photos. Plus tard nous retournons au passage frontière.

17h38 : Les Espagnols sont soulagés de retrouver 50% du QI du pays.

18h01 : L’avantage quand on est parent, c’est qu’on aime notre enfant, même quand il perd sa carte d’identité ! Attention surprise, c’est un garçon de plus de 13 ans.

18h28 : Tiens une éolienne, nous lui avons dit bonjour, elle nous a mis un vent !

19h38 : Medhi a perdu une dent dans le minibus, la dent de sagesse a poussé la dent de laid.

21h30 : Retour du carrefour voisin avec de la Lessive à main.

22h31 : Repas semi local, n’ayant d’égal que celui de la veille.

00h01 : Tout le monde est au lit après un gros débriefing de la journée. Arthur à eu le droit à ses premiers « Joyeux anniversaire »

00h03 : Rien.

00h08 : Merde il faut brancher l’ordi, on a plus de batterie.

00h09 : On peut faire une omelette et à demain pour de nouvelles aventures !

 

 

 

 

16 juillet : Tapas 2 fois

9h42 : 50% de Mat. Grasse. On ne peut pas parler de grasse matinée, ni de levé au aurore, nous invoquons donc  la matinée allégée.

9h53 : La petite souris est passée dans l’assiette de Medhi !

9h58 : Le salé s’invite à notre table, il ne suscitera pas l’enthousiasme auprès de nos joyeux lurons, mais il était là quand même, toujours présent pour qui voudrait lui prêter attention !  Jambon, fromage, tortilla et lomo font les fiers à côté des traditionnels céréales, jus d’orange et jus de pomme, lait, chocolat, café. Bref, un petit déjeuner qui remplira bien nos estomacs.

10h12 : Pendant qu’Audrey s’attèle a préparer notre journée, le reste des troupes se prépare pour affronter la chaleur espagnole et les nouvelles aventures qui nous attendent.

11h03 : Nous avons trouvé notre programme de la matinée, nous irons donc visiter la célèbre cave de Tio Pépé, emblème de la ville de Jerez de la Frontera, célèbre ville viticole ! Nous ne pouvions pas passé à côté de ce célèbre chai, réputé mondialement.

11h25 : Gris la Tempête rentre dans le parking, ressort du parking en marche arriere, rerentre dans le parking avec un ticket cette fois. C’est pas faute d’avoir testé de nombreux parking sous terrain comme celui là.

11h32 : Nous arrivons à la cave. Pour la langue de la visite, nous avions le choix entre Allemand, espagnol et Anglais. Nous avons d’abord hésité avec l’allemand, pour le fun mais on s’est dit que ça allait être compliqué, l’espagnol aurait pu faire l’affaire mais nous choisirons la langue de Shakespeare.  A la fin de la visite, nous nous rendons compte que nous aurions pu prendre l’allemand.

12h06 : On pense … Hein, voilà.

12h32 : Nous sommes perdus au milieu des tonneaux. Plusieurs tonneaux sont signés par des célébrités, comme Paco des Lucia, Churchill, Spielberg, Kevin Hobbe, Audrey Chaffard et Kévin Goret (rayez les mentions inutiles)

13h45 : Nous terminerons la visite par une petite dégustation accompagnée d’une assiette de Tapas. Nous retrouverons les « #PetitsBiscuitsPainsEspagnolsTropCuits, dont nous avons toujours du mal à saisir l’interet. Pour les enfants se sera evidemment « Jus de Raisin ».

13h48 : Les animateurs se risqueront à tremper leurs lèvres pour gouter deux vins.

13h58 : Avant de partir, en bon touriste, certain achète quelques souvenir de Tio pépé pour leur famille, vous saurez qui dans une petite semaine !

14h03 : Nous remarquons que la sortie du parking sous terrain est plus basse que l’entrée. A droite, après Jules Vernes, nous rejoignons la Via Grande.

14h05 : Nous reprenons la route, cette après-midi nous irons au bout du bout de l’Europe, dans la ville de Tarifa !

14h31 : Avant toutes choses, nous irons faire quelques courses pour compléter l’assiette de tapas. Nous mangerons donc en deux mi-temps de 32 minutes, sans arrêt de jeu.

15h02 : Nous faisons halte sur une aire d’autoroute pour disputer la deuxième mi temps du repas.

15h35 : Coup de sifflet final ! Les ventres sont cette fois ci bien remplis. L’équipe rentre au vestiaire (enfin dans les mini-bus) , sous le vent Hispanique, et nous reprenons la route.

16h32 : Tarifa est sous nos pieds, le village à comme un doux gout orientale, nous sentons bien l’inspiration marocaine !

16h45 : Carton route !

16h45 : Euuuuh, DRAPEAU rouge, les plages sont certes magnifiques mais le vent (encore lui) fait des siennes et  nous barre le chemin de la baignade, cette fois ci, nous ne pouvons lutter !

17h12 : Après concertation, nous décidons de rebrousser chemin, bien à contre cœur, mais la piscine de l’hôtel nous attends, nous ne perdons plus une minute !

17h25 : En partant, une lourde fumée s’élève dans le ciel, sans doute un feu de forêt non loin de là.

17h45 : La musique bat son plein dans les vans, dans 2 jours, nous les connaitrons toutes par cœur !

18h54 : De retour à l’hôtel, en moins de temps qui le faut pour le di… Nous voilà dans la piscine de l’hôtel ! Le trajet est déjà bien loin nous resterons dans l’eau jusqu’à 20h16.

20h46 : Après un passage aux douches nous décidons de prendre la direction du centre-ville de Jerez où nous allons diner.

21h03 : Le centre-ville de Jerez nous fait face, une chouette rue piétonne et plusieurs bars çà et là. Après quelques recherches, nous tomberons dans un café proposant des tapas, enfin, depuis le temps qu’on voulait se le faire !

21h35 : On commande un assortiment de Tapas, dont voici une petite liste :

  • De la viande de taureau (qui a fait un carton)
  • Tortilla
  • Tomate et Jambon
  • Piemontaise espagnole
  • Lomo
  • Anchois
  • Poivrons farcis

Ca fait du bien de changer de repas !

21h41 : « Tapas 177€ » dit le patron. « Si con la tajeta »

21h42 : JOYEUUUUX ANNIVERSAIIIRE ARTHUUUUUR ! En guise de cadeau, il recevra un tee-shirt souvenir, dédicacé par toute la joyeuse troupe !

22h43 : Repas terminé, de belles découvertes et un joli moment passé.

23h02 : Nous mangeons des glaces pour terminer cette journée, en faisant le bilan de la devant le marché de Jerez.

23h41 : Nous rentrons à l’hôtel, pour la dernière nuit à Jerez, sous les applaudissements du public. A demain !

 

17 juillet : Lisboa, parce qu’il a  soif.

9h12 : On dort

9h13 : Ah … non, on dort.

9h14 : Cette fois ci, on dort.

9h15 : On rêve, donc on dort.

9h16 : On dooooooort !

9h18 : Un des enfants se réveille surement, mais on ne saurait dire qui.

9h19 : Dixit 9h18.

9h20 : Il fait chaud, mais ça on ne le sait pas encore, vu qu’on dort.

9h42 : Driiiing ! Driiiing ! Driiiiiing ! Ça sonne ! Nos yeux s’ouvrent. La courbure de l’espace-temps matinal nous fait croire qu’on nous pourrons être en bas, au petit déjeuner, pour 9h45.

9h48 : Nous dégustons ce qui est pour le moment le meilleur repas de notre journée.  Il manque juste le nutella, alors que nous en avions la veille …

20h42 : on parle avec les filles qui nous disent avoir piqué 3 doses individuelles de Nutella avant hier, cela aurait largement suffi au bonheur des animateurs.

9h52 : Audrey part acheter le pique nique du midi au carrefour

9h55 : Audrey revient, on est dimanche, le carrefour est fermé

9h59 : les Keévins (rayez le « e » inutile) montent dans leur chambre et regardent par la fenêtre, on y voit le Carrefour ….  fermé !!! La honte envahi nos familles sur 3 générations.

10h06 : Mael nous rassure, les dia sont ouverts en Espagne le dimanche.

10h08 : on part faire la pression des pneus. Quel travail d’équipe :

  • 1 aux bouchons,
  • 1 au fil de pression qu’on branche au pneus
  • 1 aux boutons qui disent + ou – d’air
  • Le reste qui nous encourage.

10h32 : Vaillant le bleu ne manque pas d’air

10h34 : on arrive au Dia

10h35 : on ressort du Dia

10h36 : on complimente Mael

10h39 : Gris la tempête a la pression

11h 00 : on part direction le Portugal, certains ont revêtit le maillot Français pour l’occasion

11h02 : exceptionnellement on a mis une heure pile, aviez-vous remarqué ?

12h40 : incendie à droite, il fait 33°C

13h11 : incendie à gauche, il Fait 35°C

13h35 : Nous voyons énormément de nid de cigognes sur les poteaux électriques

13h36 : Nous nous demandons donc comment faisait les cigognes avant l’invention de l’electricité, et donc des poteaux electriques.

13h45 : on mange dans une aire d’Autoroute, Pastèque, jambon, fromage, pain, gateau bizarre mais bon

14h 12 : après un café, nous repartons. Notons que le serveur fut bien cool avec nos loustics

14h25 : on reprend l’asphalte, on l’avait laissé tomber.

14h 29 : 38°C chaud cacao, chochochocolat fondu ! et oui les chocobons n’ont pas survécus

14h38 : on passe la Frontière

14h42 : on décide de ne pas s’arrêter sur la micro-aire prévu pour les étrangers

14h44 : on est citoyen du monde, étranger nulle part sinon de partout.

5 heures 12 : pamplemousse

14h46 : c’était le mot tard, les motards sont eux sur la route, la barbe au vent, le barbe olivien, l’oliven tom, tom et  jerry, Jerry quand j’ai lu le compte rendu, rendu quand ça tourne dans les virages…

15h44 : merde,  ça fait 1 heure qu’on a changé d’heure, au final on est maintenant encore à l’heure où on a franchi la frontière mais plus loin de une heure sur la route, soit 120 km.

15h45 : les 2 dernières phrases sont sponsorisées par «  Doliprane » et « appel à un ami »

16h06 : Un café sauvage apparait ! Attaque « caféserréduportugal ». +120 PV.

16h18 : Nous reprenons la route, une petite heure et demi nous sépare encore de notre auberge de jeunesse !

16h19 : une petite heure vingt neuf nous sépare encore de notre auberge de jeunesse.

16h20 : une petite heure vingt huit nous sépare encore de notre auberge de jeunesse.

16h21 : une petite heure vingt sept nous sépare encore de notre auberge de jeunesse.

17h24 : C’est quand qu’on arrive ?

17h29 : BOUCHOOOOONS ! On a oublié l’ouvre bouteille, on devra donc prendre notre mal en patience.

18h32 : Nous arrivons dans notre auberge de jeunesse, aussi familliale que chaleureuse. Prenez toutes les qualités de la terre, mettez les dans un sacs, mélanger, piochez en une, elle l’aura !

20hpile : installation, régles de vie, douches pour les uns et autres choses pour les autres.

20h10 : Départ pour trouver un repas, il sera d’origine americaine.

22h35 : Bilan sur une esplanade grandiose, préparation de la journée du lendemain, et retour à l’auberge.

00h05 : dodo on a dit !

 

Lundi 18 Juillet : Comme un poisson dans l’eau.

8h45 : Kévin se lève et part manger pour être avec les premiers au p’tit dej’

8h49 : Il est arrivé au repas aussi copieux que convivial, les premiers qui avaient le droit de manger à partir de 8h45 sont là depuis 8h44. Pour une fois qu’ils sont en avance.

8h54 : Kevin arrive

8h48 : Audrey était là avant Kévin

De 8h à Midi mais pas tous en même temps car la salle est trop petite : Nous mangeons des Pancakes avec des morceaux de pommes et de bananes dedans, des pancakes nature, et tout ce qu’il faut pour vivre.

9h01 : Le café est soluble, petite déception !!!

9h23 : Tout le monde vague à ses occupations, les vagues occupent tout le monde.

9h24 : Certains divaguent

9h38 : nous apprenons sur le panneau de l’auberge qu’il va faire 32°C aujourd’hui soit 90° Fahrenheit.

9h39 : nous avons mis 12 minutes pour trouver l’orthographe de Fahrenheit.

9h59 : ne jamais acheter de l’alcool à 70° F modifié, il ne serait pas assez fort.

10h03 : Nous apprenons qu’il y a un métro à Lisboa, jusque-là, nous avions croisés 2/3 bus, et vu en photo 3/4 tram. En même temps on ne voit jamais des métros des villes dans les cartes postales.

10h04 : Nous avons 2 réponses en 2 parties distinctes :

  • Il manque de la lumière donc les premiers photographes ont décidé de ne pas les prendre en photos, c’est depuis une interdiction de photographe comme les lapins sur les bateaux, les chaussettes avec les tongs, le vin/champagne dans un gobelet en plastique, un concert des enfoirés sans J-J Goldman ou encore un mariage sans « la danse des canards »
  • Les métros sont moches, donc on les prend pas en photos c’est comme les nouveaux nés fripés, un ragout de sanglier, vos enfants au petit déjeuner ou encore une fiat multipla tuning.

10h08 : Non !!! même le nom Multipla est moche !!!

10h21 : départ en métro pour la ligne bleue

10h29 : changement pour la ligne rouge

10h32 : partir à l’aquarium est notre mission

10h39 : on demande à interdire les voitures et ne mettre que des métros partout car là au moins on ne se perd pas.

11h01 : nous évitons la file de 1,2km pour l’entrée à l’aquarium, nous prétextons être un groupe.

11h08 : on nous bassine, nous restons médusé devant autant de poissons et autres animaux aquatiques ou pas.

13h38 : On sort, on a vu plus de monde que de poissons, plus de poissons que d’hippocampes, plus d’hippocampe que de flacon d’alcool à 70° Fahrenheit modifié.

13h49 : on mange devant l’immense Centre Commercial « Vasco Da Gamma ». Les bâtiments sont géants et tout neufs. Ce sera un pique-nique basique a base de viande froide, de pain et de mayognaise (c’est pareil que la Mayonnaise mais en plus bête)

14h05 : Nous reprenons  la route vers une plage a quelques kilomètres de notre Auberge, on ira donc en minibus.

Entre temps. Metro. Chambres. Mini-Bus. Soleil. Bouteille d’eau. Poubelle. Café
Nous vous laissons le soin de mettre des verbes.

16h35 : Nous arrivons à la plage, et il faut trouver une place de parking, par chance nous en trouvons deux à 57,58m, nous avons mesuré soit 413 metres Fahrenheit.

17h03 : l’eau est presque plus froide que mouillée.

18h : Zuiteur !

18h02 : « Non, on ne sait pas où sont les toilettes de la plage », « Si t’as mal au ventre, enlève le ! », « Non, je sais pas encore ou on mange ce soir », « Oui Eliot, elles sont toutes en string, et alors », « Mais comment veux tu qu’on sache pourquoi il y a un tractopelle sur le sable », « vingt minutes de l’auberge, sauf si ça bouchonne », « Les tubas, dans le camion je crois », « Oui, d’accord, je mets la 9 », « Qui s’est détaché », « Oui, tu peux aller devant », « Non, je sais pas à Valladolid a combien sont les chambres », « Pour les boissons, c’est les mêmes que tous les jours », «  Non, je sais pas pourquoi la pizza s’appelle Siffredi », «  Oui, l’eau elle est potable », « Non, goutez la soupe », « Oui, on va vous redonner des papiers au killer », « Oui », « Non », « Je sais pas », « Pamplemousse », « Ah merde les GPS ne marche pas dans les tunnels, en même temps les tunnels ne marchent pas dans les GPS non plus ».

18h03 : Pamplemousse signifie : « Enfin, oui, pourquoi pas, potentiellement peut être, on verra, ne se prononce pas » (rayez la mention inutile)

19h38 : Nous roulons vers l’auberge et nous y arrivons, sans surprise, sans peur ni reproche.

20h321secondes : Nous mangeons le pré-repas de l’auberge, une soupe à la Morue, des petits tapas, et une orangeade le tout offert avant le sourire de la patronne.

21h02 : De retour à notre auberge, nous trouvons un endroit pour nous restaurer, Italien cette fois ci.

22h42 :L’habituel bilan de la journée est fait, nous rentrons pour une nuit bien méritée.

23h40 : Kévin Goret, je précise car il nous énerve, a encore, pour la 1539 ème fois du séjour encore démagnétisé la carte de la chambre. Sans rire c’est au moins la 9 ème fois, et ce n’est qu’un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup (on pourrait en faire une chanson).

00h00 : Le dodo est là, pas l’animal, qui a disparu depuis longtemps. De source policière, il serait pari avec le pain perdu… De source syndicale, ils étaient plus de manifestants.

 

19 juillet : Alfama qu’est ce qui ce trame, ouais ?

8h48 : Plus le camp avance, plus l’horaire relative du levé semble, chaque jour, beaucoup trop tôt.

8h49 : Kevin se lève pour rejoindre les premiers déjeuneurs (enfants qui déjeunent), les pancakes de « Mamie Auberge » (C’est comme « Mamie Nova » mais en « Auberge ») nous attendent avec leurs bananes et leurs pommes, le tout saupoudré de cannelle.

9h32 : Les deux autres animateurs, Audrey et Kévin se réveillent.

9h36 : leurs paupière sont lourdes (mais seulement la gauche ce qui explique que les soucis de pluriel de cette phrase)

9h37 : nous payons des droits d’auteur pour cette phrase

9h45 : tout le monde à déjeuner, sauf évidement ceux qui ne l’on pas encore fait et qui arrivent maintenant

9h49 : la douche coule, l’autre paupière s’ouvre

10h12 : nous partons pour la ville en métro, mais trop bien en plus.

10h29 : nous arrivons à la place près de la rive, ligne bleue. Pour ceux que ça intéresse vous irez regarder le nom sur Google, perso je me rappelle plus de la station.

10h35 : nous arrivons au point Information, nous prenons des cartes de la ville, des plans du métro et pas de carte des trams, non ça n’existe pas en papier les plans de tram.

10h38 : les K((é)ou(e))vins partent imprimer des cartes de tram et installent un point de vente de carte de tram, vendues 1€50, elles financerons  le voyage de l’an prochain au Maroc… ou ailleurs.

10h49 : on part prendre un vieux tram, c’est trop cool, long, rempli, chaud (aucune mention inutile).

11h12 : on arrive, on ne sait pas où on est mais on y est, dans le quartier de l’Alfama.

11h13 : La vue n’a d’égal que la beauté de ce quartier, ayant résisté aux tremblements de terre touchant Lisbonne. Le tout n’ayant d’égal que le nombre de marches jonchant les rues.

11h28 : Ca monte !

11h35 : Ca descend !

11h38 : C’est beau !

11h42 : Ca monte !

12h03 : Un petit restaurant nous fait de l’œil, le charme opère mais malheureusement, il sera un peu petit pour notre belle troupe.

12h36 : Nous reprenons donc nos recherches et nous trouvons, sur la place en contre bas, un restaurant qui veut bien nous recevoir, ce sera donc « Hamburgers Maisons » et « French Fries » au menu. On nous attend pour 13h30, avec persévérance nous arrivons à négocier 13h29, nous sommes soulagés.

13h28 : C’est l’heure du repas, nous mangeons un hamburger qui, sur l’echelle ouverte de Richter du hamburger, ne vaut qu’un croc de magnitude 4.

14H12 : Tout arrive sur la table même l’eau que nous n’avions pas commandée, ainsi que 732 frites de plus. Point.

14h38 : Nous décollons vers une autre partie de la ville, plus à gauche de la où on est. Nous tombons nez à nez sur une boutique de souvenirs, puis une autre, puis une autre. On a l’impression de faire la tournée des bars mais en boutique de souvenirs c’est vachement moins drôle mais vos enfants vous ont peut être acheté un cadeau. S’ils ont pas tout dépensé en Aquarius durant le séjour.

N’importe quel heure comprise entre 14h39 et 14h56 : « Oui, on va acheter de l’eau »,              « Du poulet, des frites et une glace ce soir », « Non je ne sais pas pourquoi ils ont mis des pavés dans toute la ville », « Les toilettes publiques, oohh, 50 cents ou 1€ », « Non, pas les sacs dans les magasins », « Pensez à prendre une bouteille », « C’est demain la plage », « Vite, vite, vite, c’est à droite Thibaut ou pas ? », « Non je peux pas traduire une phrase du portugais au Français », « C’est la prochaine station », « Arrette de jouer avec ton bioubiou

  • Bioubiou, nom masculin, issu de la tribu des « Bioubioutes », reconnu pour l’utilisation de leurs nombreux objets imitant la carpe aérienne sauvage cornue. Utilisé de nos jours et plus particulièrement en animation, pour désigner tout objets perturbant une activité ou une prise de parole, tel que : un sifflet, un portable, un enfant, un pistolet à eau, une bouteille vide, un chinois, un bout de plastique, un chien (vivant) ou empaillé.

15h12 : On arrive à la « Conservia de Lisboa », une très vieille conserverie ou nous faisons le plein de … Conserves !

15h23 : Séparation des groupes. Les trois quarts sont en « quartier libre, et les 2/10eme restant font une visite de stade.

Plus tard : Oui, on est animateur, pas mathématicien. Merci.

18h30 : Tout le monde est revenu à l’auberge, les jambes lourdes mais le cœur léger.

19h39 : Nous partons prendre le repas le plus tot du séjour, dans un restaurant : Le Chouchou ! Ou la spécialité n’est d’autre que : Le Poulet à l’orange avec ces pommes de terre coupées en fines lamelles et frites que nous appelons aussi, plus communément « Frites ».

20h01 : En France on se demande ce que fait le poulet quand on passe à l’orange.

22h : Après un repas bien englouti, nous partons faire une balade nocturne dans la capitale portugaise. Les rues sont aussi étroites que belles, aussi belles que pentues, aussi pentues que sinueuses, aussi sinueuses que paveutées, aussi paveutées que désertes.

23h12 : Nous rentrons après avoir fait le bilan de la journée sous la tour de Bélem. Tour qui garde Lisbonne depuis plus de 500 ans et qui a vu passé les Caravelles de Vasco Da Gama.

Placement de produit : La tour de Bélem Pokora.

00h01 : Rooooohhhopshiiiiit. Ca pionce dur ! A demain pour de nouvelles aventures !

 

20 Juillet : On a marché et marché

 

9h00 : ddddddrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnggggggggggg, Non putain de réveil, de chaleur, de soleil, de minutes trop courtes, de café soluble, de pamplemousse….

9h01 : un peu ronchon (mot pour le première fois utilisé dans nos résumés, ça se fête !!! ….Opéra…. à non apéro) nous sommes réveillés.

9h06 : Kevin descend à la cuisine qui grouille de monde, le petit déjeuner est vraiment un régal mais la densité fait que à tous moment un toast peut vous finir dans l’oreille ou le fameux Pancakes banane pomme sur les « tatanes », comme disent vos jeunes.

09h09 : neuf- neuf, match nul …

9h10 : sorry, danke, obrigado, ok, parfait, another please…. On est aussi polyglotte au réveil que vous en fin de soirée.

9h30 :

  • Ho scuse me
  • Non pas de Problème
  • Haaa enfin un français, vous êtes d’où ?
  • Oui je sais…

9h30m16s :

…« Oups, thanks à lot » on vous a dit que la cuisine était remplie, voici donc un tiroir qui me demande de me pousser pour que la cuillère sorte pour partir étaler du miel

10h04 : nous décidons que tout étranger parlant en anglais dans l’auberge sera américain.

10h06 : nous ne sommes pas d’accord avec nous même, tout le monde parle anglais ici, cela revient donc à dire que l’Amérique contrôle le monde. Ils contrôlent déjà le cinéma, le basket, les télép…

10h06et 31sec : un américain nous demande le nutella. On est coupé dans notre reflexion…

10h30 : tout le monde a déjeuné, la chambre des anims est rangée, celle des filles aussi, et une équipe d’archéologue arrive dans le dortoir des gars pour trouver des chaussures, cartes de métro, une chaussette célib’, un chargeur….

10h39 : nous partons en métro vers le marché où certains souvenirs seront achetés ainsi que d’autres stockés dans un coin de la tête.

11h40 : nous arrivons au marché, c’est fou ce que ça prend comme temps de se déplacer dans une ville. La prochaine fois, on fera un camp en Hydravion.

12h20 : un temps libre est laissé, le temps que les anims puissent vérifier la viabilité d’un repas dans ce lieu magnifique

12h26 : ça sent le poisson

12h26 : normal Aloïs c’est un marché

12h31 : três bica,

12h32 : nous buvons donc nos trois cafés, pour 1€65… les trois.

12h39 : nous faisons un comparatif avec les prix des cafés dans le monde entier.

12h40 : 1€50 à l’Aragon, 3€ à Paris, 10€ à Nice àpres 22h, 1€ au café suspendu….

12h49 : nous décidons de manger là, au menu :

  • Pizzas (10 types différents à manger comme des tapas)
  • Beignets de Morues, avec ou sans Olives, celles aux « zaytuns » ont moins de succès.
  • Fruits (bananes et cerises)

13h49 : nous rentrons à l’auberge en métro…

13h57 : une américaine est de Cuba

13h59 : pensez à prendre votre bouteille d’eau, et laisser nous du temps pour boire un café.

14h30 : départ à la plage, on se perd, comme d’hab, mais on se retrouve, comme d’hab….

15h09 : après un passage de crème, nous vérifions que l’eau est toujours aussi froide…. Elle l’est. Les filles sont toujours autant en string, au plus grand plaisirs des jeunes, le soleil est toujours là aussi… je crois qu’une loi interdit la pluie au Portugal.

16h01 : beaucoup de ploufs plus tard, nous allons à la serviette, puis faire un concours de châteaux de sable, puis des heureux enterrements, puis des glaces, puis des ploufs…

18h15 : on a passé une bonne après-midi, certes mouillée, mais tout le monde en a profité.

18h16 : Nous rejoignons les minibus, garés beaucoup trop loin de la plage, nous nous rendons compte que nous aurions pu nous garer 6 fois plus près à au moins, 21 occasions.

18h25 : Ce soir, nous cuisinerons des pâtes Bolognaises à l’auberge.

0h38 : Nous débattons sur le fait que les pâtes Bolognaise viennent de Bologne en Italie, Le parmesan de Parmes, le jus d’orange, d’Orange et l’Emmental de la tête.

18h39 : Nous sommes à l’Intermarché, nous faisons les courses, pas de crème fraiche : rupture de stock ou conspiration ? Nul ne le sait !

18h57 : On paye. La caissière nous propose deux machines à cartes différente sur la même caisse. Finalement, on avisa.

19h19 : « Non je ne sais pas où sont les poubelles »,  « oui le marché sent fort », « J’traverse que quand le petit bonhomme est vert »,  « Tu te calme », « Non, depuis hier, je ne peux toujours pas traduire le Portugais au Français », «On range les portables et les bouibouis à table », « Stop, on s’écoute », « Stop, on s’égoutte (quand on parle aux pates) », « Ouakatépé Baboune », « Oui, tu peux aller au toilette », « Non, on peut pas faire un karaoké en portugais », « Attendez avant d’aller vous baigner », « STOOOOOOOOOOOOP ! », « Quoi, une otite ? », « Attend, je te montre sur google ce qu’est un Hydravion. », « Arrête de dire ça à Cyriak, ou je le dis à tes parents », « Non, pas torses nus dans les minibus », « Oui, on va retourner au parc », « Non, je ne sais pas si il y a un soccer à coté du prochain hotel », « Non, il y a pas de plage a Valladolid »

19h20 : Nous demandons aux parents de Cyriak de ne pas le frapper pour savoir cette fameuse phrase.

19h21 : Nous sommes rentrés à l’auberge, nous démarrons la préparation du repas, entre 3 américains, bref, on n’est pas sorti de l’auberge.

22h : On mange à l’heure ibérique… On a cherché des jeux de mots, pas trouvés.

22h24 : Une partie de la tarte à la prune à décider, en son âme et conscience, de faire le grand saut sur un carrelage qui n’en demandé pas tant.

22h28 : De source sure, la tarte n’avait pas eu sa part du gâteau, elle en a donc fait tout un flan.

22h30 : un américain est norvégien

22h58 : Ballade nocturne de nuit sans lumière du soleil au moment « T ».

23h12 : Grace à une invention ayant révolutionné la vie des cigognes, nous y voyons.

23h13 : On fait une partie de Mime. « Je sais pas ce que tu fais, mais tu le fais super bien ! »

23h14 : Marceau, pas Sophie, like sur Facebook notre partie de mime.

23h17 : Poutine, nous appelle, et nous félicite enfin pour nos résumés, lui que nous avait tant décrié en début de séjours.

23h22 : Si vous n’avez pas lu les autres résumés, courrez y, sinon, vous ne pourrez pas comprendre celui-ci.

23h42 : Retour à l’auberge, goutage de la partie restante de la tarte.

00h12 ; Dormez, c’est un ordre !

 

 

 

21 juillet : le der niais

9h 00 : On nous a encore volés des heures dans notre nuit. Ha moins que l’on les retrouve chez nous…

9h05 : Kevin descend au p’tit dej’, il y a moins de monde que la veille, mais plus de pancakes et encore de la tarte aux prunes.

9h07 : les garçons mangent tranquilles, en terrasse… OKLM comme disent les jeunes, «pépère » comme disent les jeunes !

9h12 : Nous réalisons, à notre grand regret, que c’est les derniers Pancakes « pommes/bananes » que nous mangeons…

9h14 : Nous réalisons, encore à notre plus grand regret, que nous allons dire « au revoir » à « Mamie Auberge » !

9h39 : Les sacs se chargent petit à petit, une chaussette par ci, un caleçon par-là, même eux sont tristes de partir. Comment le sait-on ? Ils sont cachés sous les lits.

10h05 : Un dernier au revoir, les clefs sont rendues, les trafics sont chargés. Lisboa sera dans quelques heures derrière nous.

11h04 : nous sommes loin de la capitale portugaise, nous traversons des paysages désertiques, le fond de l’air est chaud, le vent fait vaciller les fleurs, les nuages sont toujours pas là et mamie auberge est à, l’auberge.

11h35 : STTTTTOOOOOOPPPPP au Leclerc d’une petite ville, Stop pour l’essence et les sens car oui dans le Portugal la bouffe est bonne, l’air sent souvent mauvais dû aux usines et l’ouïe et là.

11h35 : Louis vient par là (entendu sur la plage)

11h35 : Oui L’ouïe est là.

11h59 : on a aussi acheté le pic-nic du midi…

11h60 : on boit un café. 3€ servis avec le nata mais sans le sourire.

12h on reprend la route

Midi six : Catherine, je ne t’oublie pas, non jamais… (ça pourrait faire une chanson)

12h50 : on a oublié de parler du papi de la station essence à qui on a dû expliquer en Français comment marché la pompe. Adorable, il a bossé à Besançon et parle donc bien notre langue maternelle.

14h : on mange sur une aire d’autoroute, il fait chaud, on est heureux, on est bien et les toilettes sentent mauvais.

14h05 : à l’entrée des toilettes, une machine à 50 centimes peut nous dire grâce à nos empreintes digitales  si l’être aimé est amoureux.

14h06 : on télécharge l’appli « horoscope » et on économise donc 0.50€

15h : on a fini notre café, on repart, bientôt l’Espagne.

15h15 et 16h15 : on rechange d’heure

16h16 : on est en Espagne, la route est droite. Le dessert présent. Arrivée prévu pour 18h29 si pas de café.

17h21 : on reprend un café dans un endroit aussi esseulé que le neurone de Nabilla.

17h29 : « non monsieur, on rentre que demain ». Un papa, probablement pressé de retrouver ses enfants et nous attend, en vain.

18h39 : on est à l’hôtel, chaque chambre est plus grande que mon appart.

19h12 : on est bien installé, petite douche.

21h : repas aussi bon que salé que copieux que rapide que cuit.

22h on part dans Valladolid faire le bilan de journée

23h : fin des discours de tout le monde, les larmes coulent à flot. La nostalgie envahi nous cœurs…

Minuit six : caty perry dans la demeure, bref au lit.

0h12 : « oui tu as le temps de te laver les pieds », « oui l’eau est potable », « non la mamie peux pas être un poteau de la cage de foot », « va t’excuser quand même Mehdy », « Aller Hop, téléphone dans la poche », « chuuuuuuuuttttt », » il est à qui ce caleçon ? », «  non c’est 1 par lit », « calme toi », « 8/10 pour cette blague », « non non non non stp, ne finit pas ta phrase », « des chambres de 4 je crois », « pas d’aquarius ce soir » , « le PN, comme d’hab », « pas de sac dans les magasins »,  « pas de sable dans le mini bus »,  «  aller bonne nuit les gars, sages svp »

 

C’était donc notre dernier résumé, le prochain au prochain camp. On n’exclut pas un deuxième hors-série….

Demain on arrive aux marnières à 18h04 environ.

A demain.

 

 

 

Bonus 1 :

Voici aujourd’hui un bonus des trucs qui sont arrivés durant le séjour et dont on a pas parler par oubli : on s’est dit « et m**** , on a pas parler de ça ». Les heures sont donc vraies, mais tout n’est évidemment pas arrivé le même jour.

2h30 : le Veilleur de nuit viens nous chercher, Arthur à mal au ventre, ça tombe on ne voulait pas dormir.

10h05 : on croise une jolie américaine à l’auberge, on lui tient la porte, elle nous tient tête.

12h08 : nous aurions pu avoir 3 couples dans le séjour, mais tel des jardins à la Française, ce fut 2 râteau.

14h09 : l’américaine est en couple, on tient plus la porte mais la chandelle.

16h30 : pour 24€, les affaires sales de tout le monde sont propres, sèches et plié. L’auberge s’est charger de tout, mais on nous annonce 2 chaussettes célibataires.

16h32 : à la tête du gars de l’auberge, il n’a jamais eu autant d’affaire à laver…

17h30 : dans les bouchons, on croise des portugais qui nous parlent en français, on parle foot évidement.

18h19 : nous avons un petit problème avec les péages portugais, nous avons le droit de ne pas les payer, mais pas de revenir au Portugal si on les paye pas.

20h49 : Théo demande en anglais s’il y a du jambon dans la pizza

20h50 : la serveuse ne comprend rien

20h51 : Google traduction est ton ami

20h53 : faut-il encore arriver à écrire correctement en Français.

20h59 : Théo à sa réponse, et à flasher sur la serveuse.

21h30 : la serveuse du burger King veut garder le ticket de caisse, 18 personnes c’est son record.

21h42 : théo quitte à regret le restaurant, la serveuse et le jambon de sa pizza.

 

 

 

Bonus 2 :

 

Voici aujourd’hui un bonus des trucs qui sont arrivés durant le séjour et dont on a pas parler par oubli : on s’est dit « et m**** , on a pas parler de ça ». Les heures sont donc vraies, mais tout n’est évidemment pas arrivé le même jour.

8h12 : On a dit quoi… on nettoie sa table

10h00 : ha mince il parlent français… faites attention à ne pas critiquer le resto

10h15 : merde, on est garé où déjà

10h25 : comment ça la carte bleue marche pas, on ressaye. ouf, c’est bon !!!

11h06 : mais noooooon, ta déjà perdu ton ticket de métro?

12h04 : tiens il s’appellent tous « manual » les mec du péage

13h06 : le code de la wifi : « clienthottel » il se sont pas foulés.

14h03 : 4€ le burger, il fait où son bénéfice le type.

14h39: une douzième bouteille d’eau « por favor »

16h30 : non pas de goûter, comme d’hab, pas de goûter en camp

17h21 : attend, on va vérifié si tu n’a pas démagnétisé la carte de l’hôtel…

19h08 : NON on cours pas pied nus dans la rue

19h28 : pas de sable dans le camion

20h : aller on se pose 1h avant d’aller en ville

20h39 : il avait une promo sur le sel je crois…

22h12 : regarde à droite, une boite de nuit de mineurs…

22h16 : houlà une bagarre, ferme la fenetre

23h29 : dans 6 minutes c’est dodo

23h35 : c’est maintenant, bonne nuit

23h41 : c’était y’a 6 minutes

23h44 : bon oust, toi et toi dans le couloir, ça vous empêchera de parler dans la chambre…DSC_1323 DSC_1397 DSC_1395 IMG_0857 IMG_0915 IMG_0917 IMG_0863 IMG_0824 IMG_0834 IMG_0788 IMG_0783

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