8h45 : une sirène retentie dans toute la moitié de la bâtisse soit 4Hectares, que se passe-t-il ? Juste Clémence dans un souci de nous réveiller, à tirer sur une mauvaise bobinette.
9h30 : On déjeune comme les autres matins, néanmoins les gâteaux changent à notre plus grand désespoir.
10h02 : réunion au sommet avec 2 minutes d’avance si on marche en horaire inversé(e), le résumé est lu par l’homme du jour, je dis bien Arthur qui fête son 13ème biiirthday et les portables remis aux bruyant de hier soir.
10h05 : la réunion au sommet est une réunion entre animateurs. Préalablement on fait le symbole d’un triangle avec nos mains et on place notre tête au sommet. On fait donc une réunion au sommet…. Du triangle.
10h05 bis : tiens un café, bon beh ok…. Heu vous avez oublié l’autre moitié du café, ha non, je m’y ferais jamais des cafés italiens….
10h35 : on part à la recherche d’un supermercato pour se ravitailler dans « one big big supermarket. The big one »
11h08 : on roule sur les grandes plaines toscanes de village en village, de ville en ville, de train en train…
12h04 : on s’arrête pour se remplir la panse, dans un parc à San Casciano in val di pesa. Un endroit qui sent bon les cuisses de poulet au Barbeuk’
Midi 6 : Mehdi 7, Arthur 8, Théo 9, Lyna 12, Henry 4, Louis 16 qui met la tête…. Et clap, perdue
13h17 : on décide d’aller se balader dans le village qui se trouve être désert comme le far West, c’est dimanche et le dimanche c’est comme chez nous, ya rien en dehors de carrefour market et du marché de l’ousse des bois.
14h07 : Piscine : Round 2 => on décide de retenter la piscine à Florence avec ces supers plongeoirs. Mission réussie ! Et en bonus on apprend que pour se baigner, on doit porter des sublimes bonnets de bain. Notre après-midi est rythmée aux sons « des PLOUF » quand le plongeon se passe bien, ou bien « des PAF » quand ça sort de l’eau avec les jambes un peu rosées …
17h57 : on remonte dans les vans direction l’auberge, mais aujourd’hui on change notre itinéraire de d’habitude pour rentrer, on veut voir le beau paysage de Toscane.
17h59 et 26 secondes environ : on croise un type, qui s’appelle probablement pas Friedrich, avec un casque sur la tête, dans une voiture… on n’est jamais trop prudent. Ça doit être le genre de type qui met des calles sous sa voiture quand elle est garée en pente, qui a toujours un parapluie avec lui, qui met un pare-soleil à sa voiture, qui a des chaussures de sécurité quand il jardine, qui éteint le gaz dans le quartier quand il sort de chez lui, qui a 2 salles de bains si l’une tombe en panne, qui a fait des raccourcis claviers personnalisé sur son téléphone fixe, qui achète la sonnerie 3€ au 63131 pour avoir la soupe au choux, qui achète toujours le PQ en promo par pack de 76, qui vérifie tout le ticket à la fin des courses, qui met toujours un avis sur trip advisor, qui met 2 cadenas à son vélo, qui met attention au chien alors qu’il n’a que d’un chinchilla en cage, qui va à la poste à 5 minutes de la fermeture, qui porte une banane autour de la taille, qui achète des CD, qui paye avast, qui fait des demandes pour avoir des échantillons gratuits ,qui demande à ses invités de se déchausser, qui a un mouchoir en tissu, qui mange en faisant du bruit… bref un mec bien.
19h23 : retour à Il Bigallo. Lavage, Coiffage, Habillage, mangeage….
20h33 : Repas de fête en l’honneur de nos deux hommes du soir, je dis bien Arthur et Noah . Toujours un plat, de pâtes en guise d’entrée, du poulet / frites en suivant et dessert délicieux pour finir sur une note positive. La note est un Fa dièse pour ceux qui veulent savoir.
22h42 : après certaines bonnes parties de cache cache, on décide de se réunir, mais nous sommes obligés de faire un temps de régulation un peu long car l’excitation des jeunes leur fait oublier de temps en temps des règles essentielles de respect mutuel.
23h42 : bref après tout ça, le jeu des photos, et un temps multimédia (ils sont sur les portables) …. Pour essayer de bien finir la journée.
A demain ? Avec le temps les résumés réduisent, les réductions déduisent, les résumtions déduisent, les déductions résuisent (à lire avec la faute sinon ça rime pas), et les animateurs fatiguent.